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de Matthieu 10 ans et de Christine sa maman

Les enfants et adolescents : témoignages de parents d'élèves

Notre fils a connu une lenteur d’écriture accompagnée de douleurs dans le poignet, le bras et l’épaule dès le CE2.
A la suite d’un second bilan psychomoteur, il en est ressorti qu’il était gaucher et non droitier. Deux solutions se présentaient à nous : essayer de le faire gagner en vitesse de la main droite ou entamer une relatéralisation c’est-à-dire qu’il apprenne à écrire avec sa main dominante à savoir la main gauche. Nous avions rencontré Mme Aboukrat pour l’aider à soulager ses douleurs et à améliorer sa vitesse d’écriture de la main droite, c’est donc tout naturellement que nous nous sommes de nouveau tournés vers elle pour avis, dans un premier temps, puis pour entamer la relatéralisation, dans un second temps. Notre fils a été suivi par Mme Aboukrat avec toute la pédagogie et la réassurance dont elle sait faire preuve dans ses accompagnements. C’est une véritable relation de confiance tripartite qui se met en place entre Mme Aboukrat, l’enfant et les parents.
Les séances et les exercices à faire à la maison n’étaient pas vécus, par notre fils, comme une contrainte mais comme un plaisir lui permettant d’utiliser progressivement sa main dominante. De son aveu même, il s’est senti « libéré car il n’avait plus à penser à écrire, c’était naturel ».
Grâce à Mme Aboukrat, cette relatéralisation qui nous faisait un peu peur au départ s’est très bien passée et a permis à notre fils de s’épanouir dans sa scolarité.

Depuis la maternelle, j’avais noté que ma fille Mariska tenait son crayon en l’enveloppant avec la phalange moyenne, la phalange distale recouvrant les autres doigts, tandis qu’elle crispait l’extrémité de son index et de son majeur sur le crayon. Comme je ne trouvais pas cette tenue très détendue, je m’en ouvrais à son enseignante. Celle-ci me répondait de ne pas m’en faire et que « ça allait se mettre en place ».
Par la suite, comme je le supposais, ça ne s’est jamais « mis en place » et Mariska a continué à écrire de la sorte mais, pour autant, n’en semblait pas incommodée dans l’apprentissage de l’écriture.
Plus tard vers 9 ans, à l’occasion d’un test, une psychologue relevait cette tenue du crayon peu orthodoxe et nous demandait si cela posait un problème à Mariska. Il semblait toujours que non mais je lui faisais part de mes premiers doutes et de ma crainte que cette crispation des doigts devienne une gêne plus tard dans la prise de notes rapide et abondante. La psychologue nous parlait pour la première fois de la graphopédagogie.
A la rentrée du CE 2 ou du CM 1, elle avait ressenti du découragement. Elle trouvait qu’elle écrivait mal et une camarade de classe s’était moquée d’elle. Je lui ai démontré qu’elle n’écrivait pas « mal » mais qu’elle écrivait trop vite et qu’en prenant le temps de former ses lettres comme elle avait appris, son écriture était tout à fait correcte. Après quelques lignes d’écriture, elle prenait conscience qu’elle était parfaitement capable d’écrire joliment. Je lui expliquais que la vitesse viendrait après.
Comme je restais attentif à sa façon d’écrire, et notamment la persistance de cette crispation autour du crayon, je notais également que son dos s’arrondissait de plus en plus quand elle écrivait et que la tête se rapprochait de plus en plus de la table en regardant sa feuille de biais. Nous avons discuté ensemble de cette tenue de crayon et de sa posture. Il me paraissait évident que l’injonction «tiens-toi droit » ne sert à rien si elle ne s’inscrit pas dans un processus de ré-apprentissage global. Nous avions tenté aussi d’utiliser un stylo doté de guide-doigts, mais le stylo était trop épais et devenait vite inconfortable.
A la veille de son entrée en 6e, si elle écrivait convenablement et lisiblement, c’était elle maintenant qui pressentait des difficultés à venir dans ses prises de note et demandait que nous y remédiions. Elle n’avait pas oublié qu’on nous avait parlé de la graphopédagogie.
Mariska a adoré travailler avec Mme Aboukrat qui a su tout de suite la mettre en confiance et l’encourager sans la juger. On voit très vite que la technique est éprouvée. Nous avons passé en revue tous les fondamentaux, posture, hauteur de table, choix puis tenue du stylo, position de la main qui n’écrit pas… Rien n’est laissé au hasard et Mariska a bénéficié de conseils que l’école néglige trop souvent de dispenser. Les exercices lui ont paru très ludiques et elle s’est appliquée à les reproduire quotidiennement à la maison sous l’attention de sa maman ou son papa. Car les parents ont un rôle actif dans ce ré-apprentissage. En quelques séances, Mariska a acquis les clés pour maîtriser la tenue de son nouvel ami le stylo-plume, et améliorer les détails de sa calligraphie. Elle doit encore travailler un peu sa vitesse mais forte des conseils de madame Abroukat, je ne doute pas qu’elle y parvienne.
La réussite de madame Aboukrat ne vient pas que de son expérience de maman et d’enseignante. Elle vient surtout du fait que, pour elle, rien n’est acquis et qu’elle questionne en permanence sa propre pratique. Et plus que tout, sa pratique est servie par une remarquable qualité d’écoute : elle écoute l’enfant mais elle entend aussi les parents.

Ce message avant tout pour remercier Mme Aboukrat pour son travail dévoué, qui pour nous a abouti à des résultats formidables, sans aucune exagération !
Je vous invite à lire mon message jusqu’au bout, même s’il est un peu long, car l’histoire est plus complexe. Peut-être d’autres personnes se trouvent dans la même situation que nous et ça pourrait les aider. J’aurais tant aimé, dans ma période de désarroi, que quelqu’un me parle de ces professionnels qu’on ne connaissait pas, afin qu’on puisse venir en aide à mon fils.


Je me dis que si vous êtes sur ce site c’est probablement parce que vous cherchez des solutions pour améliorer votre écriture, ou plus souvent celle de vos enfants. Alors là, vous êtes au bon endroit, Mme Abroukat pourra vous aider, elle détient la bonne technique et a une approche très pédagogique et bienveillante.


Je parlais au pluriel, car mes deux enfants: Toma – 10 ans et Carla – 6 ans, ont fait le travail de rééducation avec Mme Aboukrat.
Carla, qui est en CP, ne savait pas du tout tenir le crayon dans la bonne position, du coup elle avait du mal à passer de l’écriture en majuscules (qui n’était pas non plus terrible) aux lettres manuscrites. Avec la technique et les exercices préconisés par Mme Abroukat, au bout de 7 séances (dont une à distance, à cause du confinement) elle a acquis le bon geste et une belle écriture fluide. A présent elle est ravie, très fière de ces résultats elle prend du plaisir à écrire sans qu’on lui demande. Les résultats obtenus lui ont permis aussi de retrouver la confiance en soi.


Toma, qui est diagnostiqué TED, n’a jamais réussi à écrire correctement en lettres manuscrites. Le geste de l’écriture lui était trop couteux et il n’arrivait pas du tout à écrire en classe, ni à la maison d’ailleurs, car on ne savait pas comment l’aider :-). Pour vous donner une idée des difficultés qu’il avait, sachez qu’à son âge, les dictées en classe il les faisait en épelant les mots à son AVS, pareil pour le reste de ses évaluations. Depuis le debut de sa scolarité on a été à la recherche d’un professionnel qui saurait l’aider à ce niveau. On nous a dirigé vers des ergothérapeutes qui ont mis un an à nous répondre, faute de disponibilité. Au bout d’an an on a eu un rdv pour lui faire un bilan, qui nous a couté 250€, à l’issue duquel on nous a préconisé 30 séances d’ergothérapie à 70€/séance, sans aucun engagement sur le résultat. D’ailleurs elles nous ont dit clairement qu’il ne saura jamais écrire et que l’aide qu’elles apporteront sera de lui apprendre à se servir d’un ordinateur pour prendre de notes. Donc nous n’avons pas donné suite, ce n’était pas du tout ce qu’on cherchait. Toujours en quête de trouver une solution pour venir en aide à mon fils, j’en ai parlé aussi à mon ostéopathe, qui m’a révélé l’existence des ces professionnels formidables, qui sont les graphopédagogues du réseau 5E et leur méthode éprouvée. Le travail de rééducation s’est rapidement mis en place, grâce à la bonne pédagogie de Mme Aboukrat, mon fils a été coopérant, il a vite compris l’intérêt de son travail. Aujourd’hui, au bout de 7 séances, et un travail d’écriture quotidien, en respectant les consignes données par le graphopédagogue, il est devenu autonome pour l’écriture et c’est plus que lisible! Il peut écrire de ses propres mains toutes les histoires qui lui traversent l’esprit et il en est très fier.
A l’école, les résultats sont moins visibles, le personnel encadrant n’a pas su passer la relève, et ils continuent à écrire à sa place. Mais je pense qu’il saura l’intégrer au moins pour son passage au collège et par la suite être autonome dans la prise des notes.


Je laisse parler les résultats et invite Mme Aboukrat à poster les copies d’avant et après.
Encore un grand merci, on vous est très reconnaissants, vous avez rendu l’impossible en possible, quand on y croyait plus. Le seul regret qu’on a c’est de ne pas vous avoir connue avant, pour soulager toutes ces années de peine à mon fils.

J’ai amené Wassim à Mme Aboukrat pour la première fois en janvier . Sa maîtresse m’a dit qu’il écrivait mal et très lentement. Déjà au CP, c’était dur mais au CE1 il n’arrivait plus à suivre : il ne finissait pas de copié ses leçons; il finissait pas ses exercices et c’était sa maîtresse ou un copain qui lui copiait ses devoirs dans le cahier de textes. Elle s’est rendu compte tout de suite en le faisant lire le petit texte qu’il devait copier pour le test qu’il avait du mal à le lire. Sur ses conseils, j’ai pris Rv chez une orthophoniste (C’est très long pour avoir le RV) et en attendant j’ai acheter le livre Bien lire et Aimer lire. Tout de suite , il a commencé à faire des progrès en lecture et du coup en écriture aussi. Il s’arretait plus à chaque lettre pour réfléchir. Il écrivait plus vite surtout qu’elle lui a montré comment bien s’asseoir et tenir son stylo.
On a fait 4 séances et je continue à la maison à lui faire faire ses exercices. Pour la lecture, il continue avec l’orthophoniste. Maintenant ça va mieux pour les 2, la lecture et l’écriture. Merci !

Depuis son CP nous avons été alerté qu’Evan était en difficulté dès que l écriture intervenait dans les apprentissages. En maternelle Il compensait déjà par sa vivacité, son humour et joie de vivre mais les activités manuelle c était pas son truc. Nous nous sommes questionnés très vite lorsque notre fils nous a parlé en CP de son inquiétude de redoublement. Sur les conseils des enseignants nous avons commencé un suivi auprès de spécialistes différents pour comprendre sa dysgraphie : psychomotricité, orthophonie, orthoptie,
Podologie etc… en CM1 Notre médecin nous a conseillé de prendre contact avec Mme Aboukrat et nous avons commencé un travail de rééducation. C était à la période du confinement donc nous avons eu du temps pour suivre les exercices d Yvette avec lui et l aider à reprendre confiance en lui par des exercices assidus et aussi en voyant ces progrès Evan à reprit confiance et contre toute attente est rentré un soir de l école fier de sa dictée bilan de la semaine et du commentaire de sa maîtresse : un dictee « magique » qui a fait la fierté de son entourage et lui a permit de penser au possible. En CM2 Aujourd hui Evan a encore besoin d encouragements mais sait que si il s applique et suit les conseils de Mme Aboukrat il peut y arriver comme les autres. Je profite donc pour remercier Yvette pour sa pédagogie et son professionnalisme. Elle a réussit à donner à notre fils beaucoup de conseils et techniques pour réapprendre à écrire. Et même si aujour hui il doit fournir parfois un effort plus important que certains camarades de classe pour écrire il s accroche et cela c est grâce à ces séances. Bravo!

C’est par la maîtresse de CM2 de mon fils, Antoine, que j’ai découvert qu’il existait des rééducations en écriture menée par des professionnels, les grapho-pédagogues. Comme j’aurais aimé découvrir ce métier plus tôt… Depuis le CP, Antoine rencontre des difficultés en écriture, qui, maintenant en CM2, l’ont mis en échec scolaire, et lui ont fait perdre confiance en lui. Gaucher, sa position d’écriture « poignet cassé » lui était pénible et douloureuse, son écriture était maladroite, hachée, difficilement lisible, lente, et pleine de fautes. Nous partions de loin !
Quel plaisir de rencontrer Mme Aboukrat, et de se dire qu’on avait frappé à la bonne porte, tout de suite. Nous avions enfin trouvé la bonne personne, qui allait apporter à Antoine l’aide dont il avait besoin. Les bons conseils, l’accompagnement, le soutien, l’écoute, les encouragements. Et une méthode si efficace, que petit à petit, au fil des séances et des exercices quotidiens, Antoine a pu résoudre ses problèmes. En 7 séances, il a réappris à écrire avec la bonne position de doigts et de poignet, avec une belle écriture, tellement plus fluide que l’ancienne, et un rythme plus soutenu. Il a aussi appris les techniques pour copier un texte sans faire de faute. Et surtout : il a repris confiance en lui, et oui, je dirais même qu’il prend du plaisir à écrire, ce qui avant était un calvaire pour lui ! La rééducation est maintenant terminée, et nous avons en poche tous les bons conseils à continuer d’appliquer pour qu’Antoine devienne un champion en écriture 🙂
Merci Mme Aboukrat, merci… Antoine a maintenant les clés pour repartir du bon pied dans sa scolarité.

Les adultes : dystonie et crampes de l'écrivain

Je suis un homme âgé de 47 ans et l »écriture a toujours été un handicap . Je n’éprouve pas de soucis à rédiger un texte mais l’écriture manuscrite a toujours été difficile me concernant. Le fait de devoir écrire devant quelqu’un génère un stress , qui de façon inéluctable produit un effet désastreux sur mon écriture. Sur internet, j’ai découvert le site « SOS ECRITURE « un peu par hasard et j’ai contacté Mme ABOUKRAT. Les 6 séances dont j’ai fait l’objet ont été très bénéfiques. Seul, il m’aurait été impossible de palier à cet handicap. Contrairement aux idées préconçues, à savoir remplir des pages et des pages comme je l’ai fait, il faut trouver la solution par un ensemble de petits détails à corriger. Cela n’a pas été facile, j’ai failli abandonner mais les compétences en la matière de Mme ABOUKRAT m’ont permis de considérablement améliorer mon écriture. Sa patience et ses qualités d’écoutes sont à mettre en exergue. Ce qui est paradoxale, c’est que ce sont nos échanges verbaux qui ont grandement contribué au résultat obtenu.
Merci Mme ABOUKRAT
Nota : Lors de la dernière séance, j’ai même appris à faire un beau 8, une révolution pour moi lol

Bonjour,
En 2005, j’ai subi un choc émotionnel.
Le soir même de cette éprouvante journée, alors que je m’apprêtais à faire un travail pour mon cours d’anglais ( j’étais au lycée à l’époque), je ne pouvais plus écrire, plus moyen de tenir mon stylo plume que j’aimais tant & que je pouvais encore manœuvrer à ma guise le matin même…
En clair, ma main ne m’obéissait plus et le geste de l’écriture manuelle m’échappait totalement.
Pendant plusieurs années, je n’ai rien dit à personne, je mentionnais simplement le fait que j’avais du mal à écrire, que ça me faisait mal.
Moi-même, j’ai très longtemps pensé que ça allait se dissiper, je ne pouvais pas ne plus savoir écrire.
Dans mon esprit, mon handicap relevait du psychologique et je croyais en toute bonne foi que si je me raisonnais pour rester zen au quotidien, ça allait s’en aller.
 » Que nenni ! » ( expression du dialecte franc-comtois que l’on pourrait traduire en français standard par :  » Rien du tout ! / Pensez-vous ! / Il n’en fut rien).
J’ai donc laissé traîner la situation jusqu’en 2009.
J’en avais trop marre de ma souffrance et, sur les conseils d’un médecin, je suis tout d’abord allée voir une neurologue qui m’a subtilement fait comprendre que c’était psychologique ! ( Bien oui, ça devait être moi qui ne voulait pas écrire exprès !).
Puis, ce médecin m’a orientée vers un neurologue, qui à son tour a transmis mon dossier à l’un de ses collègues.
Pour la deuxième fois ( la première étant quand j’en ai parlé au médecin généraliste), on me prenait au sérieux.
Dans le cabinet du neurologue, j’ai dû écrire plusieurs fois la même phrase, puis faire des boucles…
J’ai pu écrire environ deux fois la phrase puis ma main se mettait à trembler et pour compenser j’ai dû empoigner le stylo en mobilisant toutes mes forces, des doigts jusqu’à l’épaule et dans la nuque.
Je ne raconte pas les douleurs ressenties.
Ressentir de telles tensions était juste épouvantable !
J’ai fait plusieurs injections de toxine botulique.
La première a eu sur moi un effet spectaculaire mais les autres plus rien du tout car mon organisme s’adaptait au produit et surtout je ne soignais pas la cause de mon écriture désastreuse.
Puis vint le jour où le neurologue m’a expliqué que je devrais conserver ce handicap toute ma vie.
Il n’y aurait pas eu pire effet si le ciel m’était tombé sur la tête.
J’ai également fait des séances de kinésithérapie, qui ont été bénéfiques sur le plan de la détente & relaxation mais par rapport à l’amélioration de l’écriture, rien du tout.
Puis, vint le jour où je suis allée à Nanterre pour poursuivre mes études en anglais.
Après plusieurs recherches sur les graphothérapeutes et les rééducatrices en écriture, je suis tombée sur le site de madame Aboukrat.
Je ne saurais pas expliquer pourquoi mais le site m’a franchement emballée, il est très détaillé et il y a même une photo de la rééducatrice pour se faire une idée, ne serait-ce que physique de la personne.
J’ai pris l’initiative de la contacter car c’était mon ultime chance sinon de résoudre mon problème de le stabiliser.
Dès la première séance, madame Aboukrat a su me mettre en confiance, m’expliquer que ce n’était pas de ma faute et qu’elle allait tout faire pour m’aider.
Ne serait-ce que d’entendre ces paroles extrêmement sympathiques et réconfortantes m’a fait un bien fou au moral.
J’ai commencé par réapprendre à tenir correctement un crayon car cela m’avait complètement échappé. (lors du choc émotionnel, mon cerveau a complètement occulté le geste).
Le seul réapprentissage de la bonne tenue de crayon m’a  » métamorphosée ». Oui, je vous assure, sincèrement, je ne savais plus que c’était si simple à faire.
Aujourd’hui, j’en suis à la cinquième séance, je peux dire en toute honnêteté & sincérité que grâce à madame Aboukrat, j’ai accompli d’énormes progrès et à présent, je suis capable d’écrire pendant plusieurs heures sans trop me fatiguer.
Je suis capable d’écrire 10 pages recto/verso avant de ressentir les premiers symptômes de ce que j’appelle la fatigue digitale et passer mes examens sans avoir à me soucier de la lisibilité.
Mon cerveau et mon écriture sont désormais « raccords », je veux dire par là que mon stylo transmet simultanément mes pensées alors qu’avant, je ressentais toujours un énorme décalage et je ne savais plus ce que je devais écrire.
Bien sûr, mon écriture n’est pas parfaite (et ce n’est pas le but de la rééducation en écriture) mais elle m’apporte d’intenses satisfactions au quotidien.
Grâce à madame Aboukrat et à ses innombrables qualités, j’ai repris confiance en moi & en mes capacités, je suis de nouveau capable de colorier et de dessiner et surtout j’ai véritablement retrouvé le plaisir d’écrire à la main.
J’étais prisonnière de ma souffrance ; madame Aboukrat m’a littéralement libérée.
Aujourd’hui, je suis franchement apaisée et je suis réconciliée avec l’écriture et les stylos.
Madame Aboukrat est une personne incroyable, elle est dotée d’énormes qualités humaines, c’est une véritable professionnelle qui est très à l’écoute des  » clients crampistes », très compréhensive, très patiente et qui sait expliquer à nous les crampistes que cette dystonie n’est pas une fatalité et qu’il ne faut jamais désespérer.
Car je peux le clamer haut et fort ( en tout cas pour mon cas), la rééducation en écriture quand on est atteint de la crampe de l’écrivain, ça marche !!!.
Ma recette : consulter madame Aboukrat, ajouter de la bonne volonté, une véritable motivation pour s’en sortir, quelques séances, la réalisation des exercices et le tour est joué !

NB : Je souhaite, à travers mon témoignage, que si des personnes sont atteintes de ce mal, elles ne se découragent surtout pas car il y a des solutions qui fonctionnent, à savoir la rééducation en écriture.

Je suis prête à partager ma formidable expérience avec qui que ce soit atteint de cette atroce dystonie ou qui s’y intéresse.

L’automne dernier, on m’a diagnostiqué une dystonie de type crampe de l’écrivain. A cause de ce problème, j’écrivais de plus en plus petit, appelée micrographie, et je n’arrivais plus à former correctement les lettres.
Après plusieurs recherches, j’ai découvert le site de Mme ABOUKRAT, qui a été une superbe découverte.

Grâce à cette rééducation, j’ai pu réapprendre les gestes de base et mieux former les lettres, même si mon problème est aujourd’hui plus profond, mon écriture est de nouveau lisible, ce qui rend les choses plus simples dans la vie de tous les jours.

Au-delà de la rééducation, Mme ABOUKRAT s’attache à ajouter aux séances de la bonne humeur, de l’attention et s’attache à vous mettre à l’aise. Elle a même fait preuve d’idées ingénieuses pour me permettre de retrouver la faculté d’écrire correctement.

Je recommande à toute personne souffrant de crampe de l’écrivain.

Un grand merci!

Jeune diplômé de 25 ans et gaucher contrarié, Yvette m’a permis de me réconcilier avec les sensations de ma main gauche oubliée.
Au fil des séances ma main gauche s’est rééduquée afin de la reconnecter avec le file de mes pensées.

Les techniques utilisées étaient un point de départ nécessaire pour l’assimilation des fondamentaux techniques de l’écriture de lambin gauche et sa pratique ultérieure régulière.


Merci Yvette

Bonjour à tous,
Je sors d’une formation avec Yvette qui m’a donné plein de bons conseils, à la fois théoriques et pratiques, elle a su s’adapter à mes demandes en restant bien à l’écoute, cette séance était un plaisir qui inaugure plus de rapidité et de lisibilité de mon écriture, je suis sur.
Bonne continuation, je l’espère pour vous et pour vos élèves 🙂
Olivier

Je suis venue voir Yvette Aboukrat avec une demande un peu particulière : m’apprendre à apprendre à écrire à mes futurs élèves de CP. Elle m’a prodigué plein de bons conseils pratiques. L’angoisse de mener des séances d’écriture est maintenant remplacé par une hâte de mettre en application tout ce que j’ai vu. Merci beaucoup,
Audrey

C’est avec grand plaisir que j’ai joué ce rôle de « formateur » de futur prof !
Vos élèves auront la chance de vous avoir pour maîtresse car j’ai pu constater à quel point vous étiez motivée , impliquée et désormais très au point pour enseigner l’écriture !
Bonne rentrée à vous et à vos petits élèves !